Foire Aux Questions


Questions Générales

Avez-vous des salariés ou êtes-vous tous bénévoles ?

Tous les membres de l'association sont bénévoles, et accordent une partie de leur temps libre pour travailler sur les projets de l’association.

Combien votre association a-t-elle d'adhérents et de membres actifs ?

Notre association compte à l’heure actuelle une quinzaine d'adhérents, pour une petite dizaine de membres actifs. Les développements en cours nous font espérer que ces chiffres augmenteront rapidement !

Quels sont vos frais de fonctionnement annuels ?

L'association a des frais de fonctionnement annuels très faibles, de l'ordre de quelques centaines d'euros, qui correspondent aux frais administratifs.

Les volontaires qui partent en mission dans les pays où Fizarana intervient payent eux-mêmes leurs billets d'avion, leur logement et la nourriture sur place.

Comment peut-on vous aider ?

Pour nous aider, rendez-vous sur notre page « Comment nous aider ? », accessible en cliquant sur le bouton correspondant, situé sur toutes les pages du site. Celui-ci vous renseignera sur les différentes façons de nous soutenir, comme l'adhésion à l'association et le don.

L'aide que vous pouvez nous apporter n’est pas seulement financière, et nous recherchons également des personnes capables de nous apporter leurs connaissances et leurs compétences (de nos pays d’intervention, de l’humanitaire, ou d’un secteur particulier comme la communication ou l’événementiel), ou pour nous mettre en relation avec d'éventuels partenaires.

Cette aide peut également être ponctuelle, par exemple en nous aidant à encadrer un événement organisé par l'association en France.

Si vous souhaitez vous engager davantage et que vous avez des idées à nous soumettre, n'hésitez pas à nous contacter pour que nous nous rencontrions !

Comment travaillez-vous ?

Notre association fonctionne grâce à des réunions régulières et ciblées, rassemblant les personnes concernées par le ou les thèmes abordés. Nous essayons au maximum de regrouper les compétences nécessaires à des projets spécifiques. Pour la création du site internet par exemple, nous avons fait appel à un webmaster et à une graphiste. Nous nous répartissons donc le travail en fonction des compétences et du temps de libre de chacun, tout en gardant un contact très régulier avec le reste de l'équipe pour que le résultat obtenu soit le fruit d'un accord commun.

Envisagez-vous de travailler dans d'autres pays ?

Nous sommes ouverts à tout projet que l'on nous proposerait dans un autre pays, mais pour cela certaines conditions doivent être remplies : il faut trouver un partenaire local compétent, ainsi qu'un projet qui corresponde à nos objectifs, dans le cadre d'un besoin exprimé localement. Il faut également des bénévoles disponibles pour s'en occuper, qui connaissent à la fois le pays et le secteur d’activité concerné.

Comment aidez-vous les associations partenaires ?

Nous apportons notre soutien aux associations partenaires à plusieurs niveaux.

Tout d'abord, nous pouvons les aider financièrement (par une subvention trimestrielle par exemple), mais également en leur apportant certaines compétences, à travers par exemple la formation à l’utilisation de l'outil informatique ou à la gestion de projet.

Nous cherchons avant tout à accompagner nos partenaires dans l’organisation quotidienne du projet, et à les conseiller dans une logique de développement. Nous sommes également amenés à les aider à créer des partenariats avec d’autres acteurs locaux travaillant dans des domaines qui leur sont complémentaires, dans le but de créer des synergies.

Sur quels critères choisissez-vous les projets que vous accompagnez ?

Nous choisissons les projets que nous soutenons à partir de nombreux critères : le besoin local exprimé, le niveau de développement du projet à notre arrivée, nos compétences et notre expérience dans le domaine d’activité concerné, les porteurs du projet, leurs compétences et leur engagement, les destinataires, les objectifs globaux et les ambitions du projet, les retombées à court, moyen et long terme et évidemment, de notre coup de cœur pour le projet !

Combien de temps dure un projet que vous aidez ?

Tout dépend du type de projet : le domaine d’activités, l’implication des parties prenantes, la complexité de la situation, le nombre des bénéficiaires, le budget global, l’ambition des objectifs... Dans tous les cas, Fizarana accompagne les porteurs du projet au moins jusqu’à atteindre une relative autonomie, en termes de gestion humaine et financière.



A Madagascar

Où exactement travaillez-vous et qui sont vos partenaires ?

Avec nos partenaires malgaches, nous travaillons principalement à deux endroits. Tout d'abord, nous travaillons à Antananarivo, la capitale de Madagascar, plus particulièrement dans le quartier d' Ampefiloha Ambodirano, avec l'ADSAA.

Pour le jumelage, nous travaillons également dans la commune de Mananjara, qui se situe à environ 35 kilomètres de la capitale, après la commune de Mahitsy sur la route de Majunga.

Quelles relations entretenez-vous avec vos partenaires à Madagascar ?

Nous entretenons d’excellentes relations avec nos partenaires, aussi bien avec l’ADSAA qu’avec nos contacts à Mananjara ! En effet, nous ne souhaitons pas nous placer dans un rapport de force bailleur de fonds/association subventionnée. Nous pensons que cela ne peut qu’amener à détériorer les relations de travail, et surtout à nuire à la qualité des actions faites au profit des destinataires de nos projets. Des querelles avec nos partenaires ne pourraient que les écarter de leur objectif d’aider leurs bénéficiaires.

Bien au contraire, nous cherchons à instaurer un réel climat de confiance entre nous, qui passe par de très bonnes relations de travail et personnelles, ce à quoi nous travaillons au quotidien. Nous insistons très fortement auprès de nos partenaires pour qu’ils nous signalent un problème dès qu’il est détecté, afin de trouver ensemble la meilleure solution le plus rapidement possible. Nous croyons que c’est le meilleur moyen d’optimiser l’efficacité des projets et de l’aide apportée aux bénéficiaires.

Avez-vous des salariés sur place ?

Comme en France, nous n'avons aucun salarié sur place, mais seulement un ou plusieurs bénévoles, représentants de l'association. Nous fonctionnons selon un mode de création de partenariat avec des associations locales, qui elles peuvent avoir des salariés.

Parrainez-vous des familles localement ou envisagez-vous de le faire ?

Fizarana ne propose pas de parrainages pour le moment, car c'est un processus très compliqué, qui demande beaucoup de contrôle et de suivi, afin notamment de ne pas rendre les familles parrainées dépendantes de l’aide apportée. Le parrainage doit s'inscrire dans un objectif de développement pour la famille, ce qui nécessite des moyens d’action de terrain que nous n’avons pas actuellement.

Toutefois, la création de parrainages serait possible à l'avenir, mais notre objectif étant de promouvoir des initiatives locales, nous ne porterons pas nous-mêmes de parrainages. En revanche, il est envisageable de créer un partenariat avec une association locale compétente dans ce domaine, pour travailler dans le quartier d'Ampefiloha Ambodirano par exemple, ce qui demanderait beaucoup de temps et d’expérience pour pouvoir accompagner cet éventuel partenaire dans la définition d’un tel projet.



Au Bénin

Qui ont été vos partenaires sur place ?

Nous avons essentiellement travaillé avec la Fondation Regard d' Amour (la FRA), dont le siège se situe dans la banlieue de Cotonou, et qui poursuit deux objectifs principaux : la protection des enfants et l’accompagnement des familles. La FRA est présidée par Mme Claire Hougan Ayemonna, ancienne Ministre et magistrat.

Combien de temps a duré le projet ?

Le projet s'est déroulé en plusieurs étapes distinctes :

    la phase de maturation de l’idée : de 2004 à 2007 ont eu lieu des prises de contact localement, une réflexion concernant les objectifs et la manière de les atteindre, et la définition des besoins ;
    la phase de réalisation proprement dite : durant l’année 2007 nous avons recherché des partenaires, établi un planning prévisionnel, détaillé l’organisation du tournage, préparé et effectué le recrutement et la formation des acteurs, et enfin réalisé le tournage et le montage des clips ;
    la phase de finalisation : dans le courant de l’année 2008 ont eu lieu la cérémonie de lancement, et à la fin de l’année une première évaluation des retombées du projet.
Envisagez-vous de nouveaux projets au Bénin ?

Nous serions ravis de travailler à nouveau au Bénin. Toutefois, nous manquons de ressources et de temps, et pour envisager de développer un nouveau projet, il nous faudra trouver un interlocuteur local compétent, ainsi que des bénévoles prêts à s’engager dans l’aventure.

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